mardi 5 juillet 2011

C'est un re-départ...

4 juillet 2011

Nouveau périple: Les Maritimes...

Je vous avais promis du nouveau, en voici...

Levé à 5h50. Éveillé par un besoin quotidien et incapable de se rendormir à cause de l’excitation du départ éminent. Il reste encore quelques éléments à installer et à faire. Alors, pendant le dodo de Geneviève, je finis de préparer tout ça...

Geneviève s’est éveillée vers 7h45. Donc, pas de problème pour pouvoir partir vers 9h30. Après un petit déjeuner, madame a terminé et dit « attendre après moi » à 9h15... On décolle finalement à 9h25. Pas de bouchon, bon vent, tout se passe bien et on est à Lévis à l’heure où Google avait dit que nous y serions, même si la vitesse de croisière a été très raisonnable.

Après avoir retrouvé nos amis, Lise et Roger, nous prenons leur « dîner traditionnel de vacances chez St-Hubert » et reprenons la route pour Rivière-du-Loup, avec un arrêt à la charcuterie de mon cousin Herman Boucher à St-Alexandre, pour se ravitailler en creton, saucisses et sauce à spaghetti pour les vacances...

17h00, enregistrement au camping Municipal de la Pointe, à Rivière-du-Loup. À l’heure à laquelle on est sortis de table, la faim ne se fait pas sentir beaucoup. Donc après avoir monté le camp, on descend faire une petite promenade sur la grève, et on a droit à un beau coucher de soleil...

Pendant qu’on passe ces bons moments, d’autres inquiétudes. C’est ça la vraie vie. Des nouvelles de papa, hospitalisé depuis plus de3 semaines à la Cité de la Santé pour une pneumonie, qui est pris avec une « c difficile ». Alors, infection + Alzheimer, le pauvre ne sait encore plus où et quand se déroule sa vraie vie...

Ces écrits serviront peut-être à m’aider à me souvenir plus longtemps...

5 juillet 2011

Parc Provincial de Mactaquac, au Nouveau-Brunswick. Après environs 450 km de belle autoroute (Qu’est-ce qu’ils ont que l’on a pas?), on arrête pour la nuit au parc provincial de Mactaquac à quelques 35 km de Fredericton. Une journée de route, de 10h00 à 16h00 (une heure plus tard, dans les maritimes...).

Finalement, content d’arrêter pour la nuit.

C’est ça la vraie vie : prendre le temps (pour tout)...