dimanche 20 juillet 2008

20 juillet, Havre-Saint-Pierre

Très belle journée. Le réveil sonne à 07h45. Nous ne voulons pas être en retard. Le départ se fait à 09h00. Nous nous embarquons avec 8 autres personnes pour une journée sur les îles Quarry et Niapiscau. Nous ne savons pas exactement quelles randonnées nous ferons, mais...

Le vent du large, la vitesse du bateau, le soleil, c’est vraiment bien. Nous croisons un banc de canards eider qui fuient à notre passage.

Nous arrivons au quai de l’île Quarry après environ 20 minutes. Le capitaine nous avise qu’il reviendra nous chercher à 13h30 au même endroit. Une employée de Parcs Canada nous accueille et nous propose les différentes randonnées possibles : 10, 4, 2 et 1,2 kilomètres. La dernière peut être effectuée en sa compagnie (randonnée animée, pensez pas mal).

Nous choisissons la randonnée de 4,6 kilomètres (Petit Percé), celle qui suit le littoral jusqu’aux monolithes. La végétation est surprenante. Des arbres retenus par quoi? Des plantes qui trouvent leur nutriment où? Les photos ne rendront jamais l’impression qui nous accueille à chacun des tournants de la côte.

L’approche des monolithes se fait lentement. Je dois dire que cela m’a été moins spectaculaire qu’à Hopewell (Nouveau-Brunswick). Mais le calme et la tranquillité de l’endroit, c’était magnifique. Arrivé aux monolithes, nous faisons un petit arrêt. Nous choisissons d’allonger notre randonnée par le sentier des Falaises (2 kilomètres). Nous avons le temps, la randonnée a à peine pris 1h30. Le retour se fait donc dans la forêt, sur une belle passerelle de bois. Très facile et agréable.

De retour au quai, nous prenons notre temps pour diner, car nous avons presque 2 heures avant le retour du bateau-bus. Pendant un petit repos de Geneviève, j’en profite pour... faire une petite marche.

Le bateau-bus nous amène par la suite à l’ile Niapiscau. Nouvelle randonnée de 4,6 kilomètres en forêt, sur un littoral, autour d’un marais salé, de retour en forêt, jusqu’à de nouveaux monolithes (Anse Des Bonnes Femmes). Encore un paysage fantastique. C’est pas une blague : les mots me manquent.

Au retour, nous avons en prime un souffle de baleine!

C’est peut-être pas juste ça la vie, mais ça valait la peine de le vivre en maudit!

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