mardi 26 juillet 2011
Kouchibouguac
Encore du repos. Toujours du repos. Le Parc de Kouchibouguac offre une grande quantité de sentiers et de voies cyclables très intéressante. Donc le 24, on part, en fin de matinée, pour faire du vélo dans le parc. D’après les brochures, toutes les pistes sont accessibles à tous les niveaux de cyclistes. Et on fait le tour du parc (près de 25 km) de beau vélo. Au cours de la promenade, un couple de cyclistes nous fait remarquer une grosse chouette (je ne sais plus la sorte) avec un lièvre dans les serres... La caméra n’est pas prête, et la chouette pas patiente. Alors...
De retour au campement, je décide d’aller chercher du bois pour le feu de camp à l’accueil du camping. À destination, le voyant de problème de pneu s’allume. Bon! Qu’est-ce qu’il y a encore. De retour au campement, sort le « gage à air ». J’ai un pneu à 28 lbs au lieu de 46... À l’œil, je ne vois rien. Je gonfle le pneu, et on verra bien demain...
Au réveil, le pneu est à 41. Donc y a un problème. Heureusement il y a un spécialiste du pneu à environ 20 km. J’arrive et explique au type derrière le comptoir que j’ai un pneu qui perd de l’air. Le type appelle le mécanicien et dit « Aye! C’est pour un tire qui leake », de son plus bel accent acadien chantant... Une visse de 1 pouce dans le côté du pneu. Quand le mécano me demande si je « veux un plogue ou une patch » je réponds que je préfèrerais une patch. Mon mécanicien me dit qu’une « plogue c’est aussi bon qu’une patch, pis c’est plus vite », l’autre mécanicien me dit « Tu halles-tu qu’et chose avec ton châr? » Après une légère hésitation (j’ai compris ce que « halle » voulais dire) je réponds « oui ». « Mets z’y une patch, ça va moins jumper » qu’y lui dit... Tout à fait charmant...
En après-midi, il fait encore beau soleil. Alors on repart sur le vélo. De l’autre côté de la rivière où l’on est campé, il y a un petit port de pêche. Les plans de pistes indiquent que ça se rend à vélo. Pour environ 25 km. Un moment donné Geneviève me demande si j’ai vu l’ourson sur le bord de la piste. « Non, je ne l’ai pas! », Elle me dit : « Je te l’ai pas dit, parce que j’ai pas vu la maman, pis je voulais pas la voir! ». Alors pas de photo de l’ourson...
Rendu au quai, là j’ai pu photographier un « Chevalier solitaire » dont voici la photo...
Le 26, le temps est maussade, on va faire un peu de route pour voir du paysage. 2 ou 3 beaux coup d’œil, pour plusieurs kilomètres de routes, jusqu’à Miramichi. Là, petit tour dans le centre-ville et visite du « Lieu historique national du Canada du Chantier naval de l’Île Beaubears ». Un petit après-midi tranquille...
De retour au camping, on ramasse pas mal le campement, accompagnés, chanceux qu’on est, de quelques gouttelettes... Demain, c’est le départ pour Carleton. On retourne au Québec!
samedi 23 juillet 2011
Repos et pluie
Hier, on a décidé de continuer un peu notre repos commencé la veille, en faisant la grasse matinée et en passant l'après-midi à la plage. On se beurre de crème solaire, on prépare le pack-sac, on ramasse les chaises pliantes et on part à pieds pour la plage du camping de Cavendish. 15 minutes après s'être installé, le soleil disparait, le vent du large se met à souffler, pas chaud, nuages sombres, etc. C'est pas vrai qu'on a fait tout ça pour 15 minutes! On part pas!
Après une heure, faut bien se rendre à l'évidence: le soleil reviendra pas aujourd'hui, et en plus, ça va être mouillé dans pas long... On se ramasse et on a le temps de retourner à la roulotte sans problème.
Toujours pas de soleil, mais plus de vent, donc plus froid du tout.
Je m'installe donc pour préparer le bois pour le feu de camp de ce soir, pis on passe le reste de l'après-midi à lire, à la roulotte.
À l'heure du souper, déluge qui n'arrête pas... Foutu le feu, foutu le petit bois, pis ça tombe, ça tombe... Pas d'autre choses à faire que des sudokus, des mots cachés et de la lecture...
Aujourd'hui, on part de l'I.P.É. pour se rendre à Kouchibouguac au Nouveau-Brunswick. Le temps est super, pas de gros vents, du soleil, pas trop chaud, tout est parfait, ça va être beau à voir sur le Pont de la Confédération. Les routes secondaires sont agréables, pas de trafic, tout va bien.
Une pancarte annonce "Péage à 1 km". On a pas aperçu la silhouette du fameux pont! Un brouillard comme on en a eu dans le sentier "Skyline" à l'Île-du-Cap-Breton, vous vous souvenez...
13 kilomètres sur le pont, dans une purée indescriptible. On a rien vu... sauf les garde-fous de ciment à 8 pieds de la travée de circulation... Aucune photo à prendre...
Aussitôt arrivé de l'autre côté, le soleil, la chaleur...
Le reste de la route s'est bien déroulé.
Après l'installation du campement, on se prépare à souper dehors, les hot-dogs sont presque prêts, mais le ciel s'assombrit, le vent se lève. L'auvent veut partir au vent qu'on a de la difficulté à le fermer, la tente de 2 voisines part au vent, tout veut arracher, pis la pluie qui tombe... Le déluge encore une fois...
On a tout serré, soupé dans la roulotte, pris la douche et on passe encore une soirée à faire que des sudokus, des mots cachés et de la lecture...
Demain ça devrait changer...
C'est ça la vie!
jeudi 21 juillet 2011
Un peu de repos!
Un peu de repos s.v.p. Il y a maintenant presque 3 semaines qu'on est sur la route et on a pas arrêté beaucoup. Alors aujourd'hui on "brake"...
À part de ça que nous autres ici, y mouille... Chez-vous ça a l'air qu'y fait chaud? Ben ici on a eu à peine un gros 23 celcius...
Maudit! Des fois c'est pas facile la vraie vie!
Destination North Cape
Aujourd’hui, j’ai décidé que nous ferions de la route s’il faisait beau... Au réveil, le soleil brille, brille, brille...
Donc on part pour la pointe nord-ouest de l’Île-du-Prince-Édouard, où se rencontrent le détroit de Northumberland et l’océan Atlantique. Aller-retour ça représente plus de 250 km. On prend la route provinciale principale sur à peu près 50 km, puis on prend les routes secondaires. De beaux paysages, forêts, côtes atlantiques, petits ports de pêche, etc.
Vous vous souvenez, il y a 2 ans, le « bout de la route 138 », alors cette année, le « bout de la terre de l’Île-du-Prince-Édouard » (Pas de panneau indicateur par exemple. On peut pas tous être chanceux pareil...)
Au bout de cette terre, le climat est favorable à la production d’électricité à l’aide d’éolienne... Donc, à North Cape, une partie du terrain est occupé par un secteur de l’Université du Nouveau-Brunswick qui contient une trentaine d’éoliennes de plusieurs types et grosseurs.
Il y a aussi sur le site un sentier d’interprétation d’environ 2 km sur l’environnement particulier de cette partie de l’île. Nous avons opté pour une promenade au grand-air, plutôt que pour une visite d’un centre d’interprétation de l’éolienne intérieur...
À la suite d’un petit dîner pas prétentieux, on a repris la route du retour par une autre petite route secondaire. Et encore là, de beaux paysages, forêts, côtes atlantiques, petits ports de pêche, etc. (une chance que « Copier-Coller » ça existe...)
La vraie vie, c’est aussi un éternel recommencement...
mercredi 20 juillet 2011
Déception!
19 juillet 2011
Grosse déception aujourd’hui. J’avais demandé à Geneviève de participer à cet écrit. Elle n’avait pas dit non, mais, maintenant que sa participation est attendue, elle recule. « Je ne peux pas écrire dans TON blogue », « Je veux écrire pour moi », etc. Voilà les raisons invoquées pour son abstention... Après avoir passé l’avant-midi dans le monde de Lucy Maud Montgomery (nous sommes allés voir le site « Anne... et les Pignons verts », et avoir marché dans le « sentier des amoureux » et le « sentier hanté »), puis passé l’après-midi dans le secteur de Dalvay-by-the-Sea (l’hôtel où se retrouvent Anne et Diana à quelque reprises) j’aurais cru qu’elle aurait un tas de choses poétiques et bien songées à intégrer dans ce blogue... Mais bon!
Alors voici l’appréciation d’un gars :
Anne... et les pignons verts : La maison, bien entretenue, beaucoup d’artéfacts, mais somme toute, assez ordinaire. Les sentiers faciles et bien entretenus, les citations de Lucy Maud Montgomery tout au long des sentiers, assez à propos, bien intégrés au paysage (environs 3 km).
L’hôtel, très imposant de l’extérieur, richement décoré à l’intérieur, menu franchement exagéré (thé et petit cake 12$), mais piste cyclable très bien aménagée avec quelques belles vues sur l’océan. Nous y avons roulé sur une distance de 20 km.
Alors c’est aussi ça la vraie vie : Se contenter de ce que l’on a! Demandez en pas plus pour aujourd'hui...
lundi 18 juillet 2011
Charlottetown et autres obligations
Voyage oblige! Après quelques 2000 km de route, le X-Terra a besoin d’un changement d’huile... Comme la matinée s’annonce pluvieuse, c’est ce matin que ça se fait... En traversant Charlottetown, on a vu un Canadian Tire, alors pas de dépaysement... Et c’est quand même vite fait. En attendant, on parcourt les allées et on trouve un paquet de petites choses dont on avait besoin... C’est fou ce qu’il nous en manquait des affaires...
Donc, étant à Charlottetown, on en a profité pour passer l’après-midi à se promener et à visiter : la « Provincial House », là où la réunion des délégués du « futur » Canada s’étaient rencontrés en 1864, pour proposer l’entente de la Confédération, qui est encore utilisée à titre de parlement provincial; quelques rues du centre-ville où se trouvent des boutiques et galeries d’art...
Pour le retour, on emprunte un autre trajet question de voir d’autres paysages... et on aperçoit une personne arrêtée au bord de la route avec les jumelles à la main. On a donc nous aussi la chance de voir une famille de balbusard pêcheur au nid...
Après un bon souper, petite promenade sur la plage et quel coucher de soleil!
C’est beau la vie!
C'est dur les vacances...
Journée de détente. « C’est ben pour dire comme les vacances ça fatigue ». Aujourd’hui, pour relaxer, on est allés faire du vélo près des dunes et dans les champs de Cavendish. Par moment, on se serait cru dans la série « Anne... et la maison aux pignons verts » (petit sentier recouvert par les arbres qui s’unissent en une arche à l’infini), mais prendre des photos en roulant à vélo, c’est pas facile... puis apparaît la côte et la dune... Vraiment dépaysant...
24 kilomètres de cet enchantement...
Pour vraiment relaxer, on a passé l’après-midi sur la plage à profiter de la fraicheur de l'eau
et du soleil qui lui en a profité pour disparaître et faire place aux nuages. On nous prévoit de la pluie pour les prochaines heures.
Que voulez-vous, c’est la vie!
De Pictou à Cavendish
Finalement, la traversée s’est très bien passée... On a décampé à 9h10, on est arrivés sur le quai à 9h20 et on est embarqués à 9h30. Bon, il y avait du vent, pas beaucoup de soleil, quelques vagues, mais...
Lorsqu’on a débarqué, le soleil était au rendez-vous... Après un arrêt au centre d’information touristique, les petites routes secondaires choisies nous ont amené au camping de Cavendish où nous passerons la prochaine semaine.
Beau grand camping, réparé de quelques pieds de boisé de la plage... on entend le bruit des vagues... Après avoir installé l’intérieur du campement, Geneviève part faire le lavage, pendant que je termine l’intérieur. Par la suite on va faire un petit tour sur la plage.
(Ici j’avais pris une vidéo pour vous montrer les vagues et pour que vous entendiez le son de ces vagues, mais Blogger ne peut la jouer... Quand le problème sera résolu, elle sera activée...)
Faut quand même en profiter, c’est ça la vie...
vendredi 15 juillet 2011
Les derniers jours au Cap-Breton...
Pas le temps d’écrire... Après une belle journée de marche, de bouffe, de feu de camp, lorsque l’on est entrés, il était trop tard pour écrire le récapitulatif de la journée...
13 juillet 2011
Grande randonnée dans les nuages. Nous avions prévu une grande promenade de près de 7 km pour voir la mer, le ciel, la forêt, les falaises, mais tout ce que l’on a vu,
c’est du brouillard, à ne rien voir à 20 pas...
Quelques beaux petits oiseaux, mais très difficiles à identifier tellement nos lunettes étaient pleines de gouttelettes d’eau... Les plus chanceux ont pu voir un orignal... Tout ce que j’ai pu en prendre de photo, c’est son gros cul!
Pis encore, faut regarder comme il faut... Mais ça a quand même été agréable. Bon le temps pas très clément, mais qu’y faire...
14 juillet 2011
Journée pluvieuse, alors pour mesdames (Geneviève et Lise) journée magasinage dans les boutiques de souvenirs. Ce matin du côté de Cape North (nous avons visité un musée sur la vie des premiers résidents de l’endroit), et cet après-midi, du côté de St.Ann, une trâlée de petites boutiques, certaines en valant plus la peine que d’autres...
Demain c’est la séparation... Lise et Roger partent pour Halifax, alors que nous, nous allons vers l’Îles-du-Prince-Édouard samedi. Alors un dernier souper, mais la température n’étant pas de notre bord pour le pique-nique, on se fait quand même un bon souper de filet mignon de veau avec légumes et riz...Très bon...On en a profité pour parler de ceux qu’on a pas vu depuis quelques temps... Je pense que nous pouvons dire que cette première partie de voyage s’est très bien déroulée, et que la séparation se fera avec un petit pincement...
15 juillet 2011
Partis à la pluie et au froid (environs 13°C), nous avons débuté le voyage de retour du Cap-Breton vers 10h30. Malgré la température, le trajet s’est bien passé. Mais malgré l’itinéraire planifié par la route panoramique, à cause des vents, de la pluie et de la brume, la côte ne nous est apparue que très rarement... Alors...
Nous sommes arrivés au camping du Parc provincial Caribou-Munroes de Pictou (Nouvelle-Écosse) vers 17h00 après un arrêt épicerie à Antigonish. On commençait à avoir besoin d’un peu de tout. Le camping, le même où nous étions arrêtés à notre 3e dodo, est à environ 10 minutes du quai du traversier vers l’Île-du-Prince-Édouard que nous allons essayer de prendre demain matin. Mais avec la température qu’il fait aujourd’hui, la traversée de 75 minutes prévue pour demain sera peut-être éprouvante pour Geneviève...
lundi 11 juillet 2011
Louisbourg 1753...
Louisbourg... Un saut de 253 ans dans le temps, pour se retrouver sous le régime français dans une colonie qui devait donner à la France de la morue et protéger l’établissement français en Amérique. Tout ça dans un temps de conflit entre la France et l’Angleterre.
On parcourt les rues à la rencontre de soldats, commerçants, gentilshommes, servantes, qui expliquent les activités de la vie dans la forteresse. Que de contraste... Pas de « normes de travail » (les soldats sont de garde 24h d’affilées pour 48h de congé, 48h qu’ils vont essayer d’occuper à travailler pour des commerçants ou des pêcheurs car la solde n’est pas grosse...),
les nobles sont vraiment riches, les pauvres le seront toujours... Des petites maisons sur plancher de terre très humide, de grandes maisons garnies du confort de nombreuses cheminées devant lesquelles couchent toute une équipe de serviteurs...
Ça a l’air que c’était ça la vraie vie!
dimanche 10 juillet 2011
Chéticamp et Les Hautes-Terres
Hier, Météo Média prévoyait de la pluie pour la région où on est. Et il y en a eu. On a fait le voyage vers l’accueil de Parcs Canada, à Chéticamp à 105km du camping où on se trouve, pour se procurer quelques informations sur les sentiers du parc. À l’allée, on a eu droit à de beaux points de vue, pas de pluie, mais en arrivant à Chéticamp, la pluie a débuté pour ne s’arrêter qu’au cours de la nuit.
On a quand même pu visiter le musée de Chéticamp et du tapis « hooké » bien spécial à cette région.
Le voyage de retour s’est donc déroulé à la pluie, dans la brume, bref, des états que les touristes détestent. Ça fait quand même des photos pas très communes de la "Cabot Trail"... De retour au camping, surprise, pas de courant électrique... La nuit de Geneviève (et par le fait même, la mienne) n’a pas été terrible...
Aujourd’hui, beau soleil, mais assez venteux. On en a profité pour faire environs 7 km de sentier, autour du lac Warren et la montée du mont Broad Cove. Coup d’œil merveilleux...
Demain, Météo Média prévoit du beau temps. Alors on va en profiter pour aller visiter la « Forteresse de Louisbourg » avec Lise et Roger. Mais avec plus de 200 km à couvrir, on partira assez tôt. Alors...
vendredi 8 juillet 2011
Farniente!
8 juillet 2011
Désolé! ce que j'annonçais hier, ben c'est pas tout vrai: je ne suis pas plus volubile...
Aujourd’hui, journée de « farniente ». Levé vers 9h00, café, lecture, déjeuner, lecture au soleil, dîner, descente à la plage, lecture au soleil, jouer dans l’eau salée, profiter de la vraie vie...
Que dire de plus!
jeudi 7 juillet 2011
Arrivés!
Hier, je n’ai pas écrit, je ne « feelais pas pour ça ». Je ne sais pas pourquoi, mais c’est comme ça...
Aujourd’hui, ça va mieux. Certains diront que c’est à cause d’eux (bonne fête à maman et à mon frère Jacques). Moi, je crois que c’est à cause que l’on est rendus à la destination que l’on s’était donnée, c'est-à-dire le camping Broad Cove, dans le Parc-des-Hautes-Terres-de-l’Ile-du-Cap-Breton. Je n’ai malheureusement pas de photos à inclure aujourd’hui, car ma co-pilote ne prend pas de photos, « c’est pas sa job »... Mais pour le co-pilotage, quand elle ne crochète pas (pour défaire ses rangs un peu plus tard), elle fait très bien son travail.
Beaux paysages tout au cours de la journée. Au total depuis lundi dernier, nous avons parcouru 1660 km. Ce n’est quand même pas si pire avec une roulotte « dans le derrière... ». À part l’avant-midi d’hier où il ventait beaucoup, le trajet s’est bien effectué, sans problème majeur. Mais je ne suis pas fâché de la stationner pour les 8 prochains jours.
Les prochains écrits seront peut-être plus songés, car je serai un peu plus reposé...
Ça fait partie de la vraie vie : se préparer pour la suite!
mardi 5 juillet 2011
C'est un re-départ...
4 juillet 2011
Nouveau périple: Les Maritimes...
Je vous avais promis du nouveau, en voici...
Levé à 5h50. Éveillé par un besoin quotidien et incapable de se rendormir à cause de l’excitation du départ éminent. Il reste encore quelques éléments à installer et à faire. Alors, pendant le dodo de Geneviève, je finis de préparer tout ça...
Geneviève s’est éveillée vers 7h45. Donc, pas de problème pour pouvoir partir vers 9h30. Après un petit déjeuner, madame a terminé et dit « attendre après moi » à 9h15... On décolle finalement à 9h25. Pas de bouchon, bon vent, tout se passe bien et on est à Lévis à l’heure où Google avait dit que nous y serions, même si la vitesse de croisière a été très raisonnable.
Après avoir retrouvé nos amis, Lise et Roger, nous prenons leur « dîner traditionnel de vacances chez St-Hubert » et reprenons la route pour Rivière-du-Loup, avec un arrêt à la charcuterie de mon cousin Herman Boucher à St-Alexandre, pour se ravitailler en creton, saucisses et sauce à spaghetti pour les vacances...
17h00, enregistrement au camping Municipal de la Pointe, à Rivière-du-Loup. À l’heure à laquelle on est sortis de table, la faim ne se fait pas sentir beaucoup. Donc après avoir monté le camp, on descend faire une petite promenade sur la grève, et on a droit à un beau coucher de soleil...
Pendant qu’on passe ces bons moments, d’autres inquiétudes. C’est ça la vraie vie. Des nouvelles de papa, hospitalisé depuis plus de3 semaines à la Cité de la Santé pour une pneumonie, qui est pris avec une « c difficile ». Alors, infection + Alzheimer, le pauvre ne sait encore plus où et quand se déroule sa vraie vie...
Ces écrits serviront peut-être à m’aider à me souvenir plus longtemps...
5 juillet 2011
Parc Provincial de Mactaquac, au Nouveau-Brunswick. Après environs 450 km de belle autoroute (Qu’est-ce qu’ils ont que l’on a pas?), on arrête pour la nuit au parc provincial de Mactaquac à quelques 35 km de Fredericton. Une journée de route, de 10h00 à 16h00 (une heure plus tard, dans les maritimes...).
Finalement, content d’arrêter pour la nuit.
C’est ça la vraie vie : prendre le temps (pour tout)...